Le pare-feu OfficeScan comprend également un système de détection d'intrusion (SDI).
               Lorsqu'il est activé, le SDI peut contribuer à identifier des signatures dans les
               paquets réseau indiquant une attaque du client OfficeScan. Le pare-feu OfficeScan
               peut empêcher les intrusions bien connues suivantes :
            
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                  Fragment trop important :  Attaque de refus de service dans le cadre de laquelle un pirate dirige un paquet TCP/UDP
                     surdimensionné sur un ordinateur cible. Par conséquent, la mémoire tampon des ordinateurs
                     peut déborder, ce qui risque de geler ou de redémarrer la machine.
                   
 
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                  Ping of Death :  Attaque de refus de service dans le cadre de laquelle un pirate dirige un paquet ICMP/ICMPv6
                     surdimensionné sur un ordinateur cible. Par conséquent, la mémoire tampon des ordinateurs
                     peut déborder, ce qui risque de geler ou de redémarrer la machine.
                   
 
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                  ARP conflictuel :  Type d'attaque dans le cadre de laquelle un pirate envoie à un ordinateur une requête
                     de protocole de résolution d'adresse (Address Resolution Protocol ou ARP) avec des
                     adresses IP source et de destination identiques. L'ordinateur cible s'envoie continuellement
                     une réponse ARP (son adresse MAC) et dès lors gèle ou se plante.
                   
 
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                  SYN Flood :  Attaque de refus de service dans le cadre de laquelle un programme envoie plusieurs
                     paquets de synchronisation TCP (SYN) à un ordinateur, celui-ci envoyant alors continuellement
                     des réponses d'accusé-réception de synchronisation (SYN/ACK). Cela peut épuiser la
                     mémoire d'un ordinateur et finalement bloquer l'ordinateur.
                   
 
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                  Fragment de chevauchement :  Similaire à une attaque Teardrop, cette attaque de refus de service envoie des fragments
                     TCP de chevauchement à un ordinateur. Par conséquent, les informations de l'en-tête
                     sont écrasées dans le premier fragment TCP qui risque alors de passer à travers le
                     pare-feu. Le pare-feu peut ensuite autoriser les fragments suivants contenant du code
                     malicieux à se frayer un chemin vers l'ordinateur cible.
                   
 
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                  Teardrop :  Similaire à une attaque de fragment de chevauchement, cette attaque de refus de service
                     a trait à des fragments IP. Une valeur de décalage prêtant à confusion dans le deuxième
                     fragment IP ou dans un fragment ultérieur peut provoquer le blocage du système d'exploitation
                     de l'ordinateur récepteur lorsque celui-ci tente de réassembler les fragments.
                   
 
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                  Attaque par fragment minuscule :  Avec ce type d'attaque, un fragment TCP de petite taille force la première en-tête
                     de paquet TCP dans le fragment suivant. Cela peut amener les routeurs filtrant le
                     trafic à ignorer les fragments suivants qui peuvent contenir des données malveillantes.
                   
 
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                  IGMP fragmenté :  Attaque de refus de service qui envoie des paquets d'IGMP fragmentés à un ordinateur
                     cible, lequel ne peut pas les traiter correctement. Cela peut geler ou ralentir l'ordinateur.
                   
 
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                  Attaque LAND :  Type d'attaque qui envoie à un ordinateur des paquets de synchronisation IP (SYN)
                     dont les adresses source et cible sont identiques. Celui-ci s'envoie alors en retour
                     un accusé-réception de la synchronisation (SYN/ACK). Cela peut geler ou ralentir l'ordinateur.